I. Une fondation décevante et fructueuse
Tout commence officiellement par quelques lignes écrites d’une main assurée en première page d’un cahier d’écolier : « Le présent registre destiné à la transcription
Tout commence officiellement par quelques lignes écrites d’une main assurée en première page d’un cahier d’écolier : « Le présent registre destiné à la transcription
La fusion, discutée le 20 mars 1959, s’opère à la séance suivante, le 15 mai 1959. Elle apporte à l’Académie un incontestable renfort, tant en
Le 9 février 1961, Pierre Martin-Civat succède comme directeur à Jean Sorillet. Il est l’évident maître-Jacques de tout ce qui se fait à Cognac en
François de Chasseloup-Laubat succède à Pierre Martin-Civat le 23 mars 1963. Il va se révéler un grand directeur, mettant véritablement sur pied à la fois
Le 18 février 1965, François de Chasseloup-Laubat cède sa fonction de directeur à Odette Comandon, dont la première tentation est de la transformer en présidence,
En outre, réapparaissent les problèmes de trésorerie, la subvention négociée par Chasseloup-Laubat étant dorénavant épuisée. Miracle, ils se voient subitement résolus début 1969 par un
L’absence de plus en plus fréquente de Pierre-Henri Simon, qui déjà souffre de la maladie qui l’emportera, redonne un moment les rênes à Odette Comandon.
Le brusque décès de Pierre-Henri Simon le 20 septembre 1972 pose le problème de sa succession. Moins de deux mois s’écoulent ; le 3 novembre,
Souhaitant respecter jusqu’au bout la tradition de l’Académie, notamment pour ce qui concerne la durée de ses mandats, Jean Sorillet démissionne à la fin de
Le 17 février 1982, Jean Glénisson devient directeur de l’Académie. Le savant chartiste, passionné d’identité régionale, succède à l’homme du monde. Il va donner à
Après neuf ans, Jean Glénisson décide de se retirer. Pendant toute la période, sa stature et la dynamique donnée à sa direction s’étaient révélées d’une